Dans le cadre de leur parcours-séjour, les enfants participent à des ateliers critique autour des spectacles découverts. Retrouvez ci-dessous les critiques rédigées par les groupes d’Avignon Enfants à l’honneur 2025 !
F.A.I.L : Une vie malchanceuse ?
F.A.I.L (Fonce, Avance, Invincible Loser) est joué au Totem à 10h30, il dure 55 minutes. Ce spectacle est joué par le comédien Charly Labourier et mis en scène par Jonathan Salmon du 8 au 23 juillet 2025.

Un vote capital
C’est l’histoire d’un petit garçon qui s’appelle Noa, qui est malchanceux mais à nous de voter pour changer le cours de l’histoire. Mais le fait que l’histoire se finisse à cause d’un temps limité est frustrant.
Ce qui est bien, c’est que les spectateurs puissent voter et que ce vote est capital pour la suite de l’histoire, donc il faut très bien choisir. Cette idée de pouvoir voter pour créer la suite de l’histoire est très intéressante et amusante.

Des casques pour des personnages
J’ai adoré qu’on porte des casques tout le spectacle car c’est une forme hors du commun. Le comédien jouait plusieurs personnages et les voix dans le casque sont déformées et peuvent intimider certaines personnes, cela n’était pas très réaliste, il aurait fallu qu’il y ait plusieurs acteurs différents pour les différents personnages. C’est dommage que le comédien raconte plus l’histoire qu’il ne la joue.
Attention, le spectacle comporte des gros mots et des scènes de harcèlement violentes.
Critique rédigée par les enfants des groupe Q : Alma, Paul, Tyméo, Marc, Louis, Liam, Elsiane et Sarah
F.A.I.L : L’échec de Noa
Du 8 au 23 juillet 2025, au Totem, à 10h30, se joue F.A.I.L ! (Fonce. Avance. Invincible. Loser) mis en scène pas Jonathan Salmon, écrit par Marjorie Fabre et interprété par Charly Labourier.

Fonce Avance Invincible Loser
Ce n’est pas habituel que l’histoire soit au présent, mais ça ne veut pas dire que l’histoire n’est pas sympa. Elle est réaliste et donc elle nous transporte dans l’histoire. Blue est gentille avec Noa mais Gwen-Maël est méchant avec Noa.
C’est très décevant que l’histoire se termine d’un seul coup mais c’est pour nous donner envie de découvrir la suite.

Les casques futuristes
La voix de Gwen-Maël était modifiée pour être désagréable comme l’est le personnage. Porter des casques fait original, car à peu près tous les adolescents en ont car ils écoutent de la musique comme nous le spectacle. On entend bien la voix du comédien et des autres personnages. Les casques font futuristes puisqu’ils s’allument bleu et sont sans fils.
Critique rédigée par les enfants du Groupe K : Romane, Livia, Augustin, Agathe, Théo, Swan
Fast contre fashion : là où un tee-shirt blanc peut tout remettre en question.
FAST ou peut-on se réapproprier nos désirs dans une société de consommation ? est joué au Théâtre des Doms à 10h30, il dure 1 heures et 10 minutes. Ce spectacle est joué et mis en scène par Olivier Lenel et Didier Poitreaux du 5 au 26 juillet 2025. Cette compagnie explore le théâtre récit documentaire pour adolescents et adultes, toujours avec une attention particulière pour l’écriture contemporaine et les formes multiples.
Des jeux d’acteurs amusants et participatifs à travers le spectacle « Fast »
Nous sommes arrivés avec notre groupe dans la salle où s’est déroulé le spectacle et un des deux comédiens était présent avec de la musique et nous parlait. C’était amusant car on était déjà dans le spectacle avant qu’il commence.
Les comédiens interagissent avec nous pendant le spectacle en faisant des jeux, c’était drôle. Ils critiquaient aussi les achats sur Shein par exemple avec les comptes à rebours. Ils rigolaient aussi en critiquant les tenues de certains spectateurs.

Un ressenti de plateau d’émission grâce à la disposition des gradins qui sont face à face
La fumée du début rappelle l’histoire de l’incendie lorsqu’il décrit le feu, la chaleur etc. En plus ça créer une atmosphère étouffante et chaude car il faisait chaud. Ça intensifie l’émotion.
C’est malaisant qu’on soit face à face avec le public car on est donc aussi face à soi-même, ça fait le lien avec le fait d’être responsable sans sans rendre compte. Ça permet de se poser des questions et d’avoir un regard extérieur sur nous-même et sur le rôle qu’on joue dans la société de consommation.
Fast, le dénonciateur de la fast-fashion
Certaines personnes trouvent que le contraste entre les scènes de jeux et de témoignages renforce une prise de conscience triste. Même s’il y a des confusions ou des moments ennuyants l’histoire reste passionnante.
Light rapide
Dans le spectacle « Fast » il y a un jeu de lumières et effets assez particulier et intéressant : dès les premières scènes on observe qu’il y a une énorme agglomération de fumée, aveuglante et chaleureuse. En été ceci est un peu fatiguant mais l’effet donné est très recherché et élégant, en apportant une touche mystérieuse à la scène. Ensuite cette lumière s’efface et laisse la place à un jeu de lumière intéressant, en accord avec les thèmes discutés. Et ensuite, un coup de rouge vif, ruse fuchsia qui nous met bien dans l’ambiance du spectacle. Les lumières bougent et clignotent souvent, peut-être cela symbolise la société qui bouge en permanence.

Critique sur la mode de différentes époques
Les costumes ont une réputation drôle car les acteurs reprennent la façon bête des achats sur Shein en imitant les comptes à rebord de différents achats, balance un minimum de costumes ridicules tout en jouant le jeu.
Le quiz des chaussures montre comment la chaussure à la mode a changé en montrant en même temps les style des époques avec la musique en rapport.
Les musiques choisies tout au long de la pièce correspondaient très bien avec la scène. Elles servaient à donner plus d’ambiance à la scène et à faire sentir les spectateurs plus dans la situation et l’émotion recherchée.
Critique rédigée par les enfants du Groupe I : Ida, Raphaël, Anouk, Célestin, Félix, Émile, Suzanne, Alice, Ania, Joanne, Isis, Valentin, Augustin, Nahud, Dure
Revol-vert
Je suis trop vert est joué à la Manufacture à 9h50, il dure une heure. Ce spectacle est joué par plusieurs comédiennes en alternance : Camille Beret, Sarah Brassens, Lia Khizioua-Ibanez, Elise Marie, Lyn Thibault, Marion Verstraeten et mis en scène par David Lescot du 5 au 22 juillet 2025. L’écriture de David Lescot tente à travers ces formes de capté les questions qui agitent le corps social, politique, économique, et soumettent les individus, les humains aux situations les plus extrêmes.

Techniques des comédiens
Nous avons aimé la voix de la sœur, qui était très aiguë. Lors de notre rencontre avec la comédienne, celle-ci nous a expliqué qu’elle utilisait de l’hélium qui était mis dans le ballon. L’hélium est un gaz dont il ne faut pas abuser. Elle nous a également expliqué que cela demandait un certain temps d’entrainement. Elle a très bien joué son rôle en étant marrante et attachante tout en défendant ses idées concernant l’écologie.
La comédienne qui jouait le rôle de Basile nous a fait beaucoup rire grâce à son jeu de scène et ses peurs face à la classe verte et la peur de la maladie.
Par contre, nous avons trouvé que certains manquaient de dynamisme, parfois avec des longueurs. Un petit regret que les rôles ne soient tenus que par des comédiennes.
Jeux d’acteurs et son
Nous avons apprécié que le sujet de l’écologie et l’agriculture soient évoqués.
Les répétitions de mots ou expressions donnent un côté humoristique au spectacle. Nous avons aimé l’interprétation des différents rôles. Nous trouvons que les actrices lorsqu’elles jouent ressemblent vraiment à des enfants.
Nous avons partagé la chanson « Fait du son ». Certains l’ont trouvé belle et d’autres trop répétitive.
La légende bretonne donne un côté mystique au spectacle.

Les décors et la lumière
Nous avons aimé que les accessoires soient bien fabriqués, ce qui nous a aidé à mieux comprendre l’histoire mais on aurait aimé que le décor soi plus réel.
On a bien aimé le pyjama parce que c’était original et inattendu.
Certains spectateurs ont trouvé que la lumière faisait mal aux yeux et empêchait la concentration.
Critique rédigée par le groupe V : Sébastien, Emmanuel, Lucas, Lola, Hedi, Kenan, Méline, Ana, Christel, Nathalie, José, Antonio, Nathanaël, Nathalie, Moana.
L’art et les pensées des Be.Girl
Le nom du spectacle est Be.Girl, interprété par Nina Appel, Fanny Bouddavong, Bénédicte Chiazzo, Audrey Lambert, Émile Schram dirigées par la chorégraphe Valentine Nagata-Ramos. Le spectacle se déroule à La Scierie du 6 au 26 juillet 2025 et a été fait pour montrer que les femmes sont aussi capables que les hommes.

Breakdance by Be.Girl
Le spectacle ne montre que des filles pour signifier qu’il n’y a pas que les garçons qui peuvent faire du breakdance. Les filles présentent l’histoire de l’égalité Homme/Femme. Mais on ne comprend pas le reste du sujet parce qu’il manque de la voix.
Sur cette chorégraphie, on n’aime pas quand elles montrent trop leurs pieds parce qu’elles bougent trop et font des mouvements bizarres avec leurs pieds au début, mais la danse est créative car ce type de danse, on en pas tous les jours et c’est beau de voir le jeu d’ombres avec la lumière.
Certains moments de lumière bleuté peuvent apporter des moments de joie, mais les lampes torches peuvent faire mal aux yeux et empêcher la concentration du public et de voir ce qui se passe.

Une musique faite avec les pieds
La sonorité jungle n’est pas adaptée à la danse. La musique est trop forte et fait mal à la tête. La musique est irrégulière, ce qui rend difficile d’aimer le spectacle. La musique est ennuyeuse car il n’y a pas de paroles, la musique était trop berçante et pas assez hip hop.
Les costumes manquent de couleurs car c’est sombre, elles sont toutes habillées pareil avec un haut transparent et un pantalon noir, des chaussures Converses noires brillantes car la lumière se reflète dessus.
Critique rédigée par les enfants du Groupe M : Brenda, Théo, Rayane, Léo, Cordélia, Oriane, Khadija, Kassy, Nathan, Mickaël, Fatou, Jayson, Marie, Diana, Yanis, Hamza, Shelsy, Julie, Ali, Houcine
L’amour (im)possible ?
Les séparables est joué au Totem à 11h30, il dure une heure. Ce spectacle est joué par les comédien.nes Simon Chaillou et Aïda Hamri et mis en scène par Nathalie Dufour du 8 au 23 juillet 2025. La compagnie Chantier axe son travail sur les nouvelles écritures, met en scène des textes récents d’auteurs contemporains et développe un rapport singulier avec le public.
Rapport scène, salle
L’interaction dans la salle entre le public et les personnages nous a encore plus immergé dans le spectacle. Cependant, la salle était petite, ce qui limitait les déplacements des acteurs.
En tant que spectateurs nous avons trouvé le début fluide et rythmé contrairement à la fin qui s’est terminée très vite.
En ce qui concerne la fin, certains ont apprécié la fin ouverte alors que d’autres auraient voulu connaitre la fin.

Interaction, dynamique et fin ouverte !
Pour nous, les interactions entre les comédiens et le public ont été bénéfiques pour la pièce. Notamment lorsque les comédiens parlent directement à la salle, cela aide beaucoup à engager le public dans la pièce. On a remarqué que les comédiens connaissaient bien leurs textes, ce qui améliorait la réalité de la scène.
La fin et le début du spectacle n’était pas équilibré. Le début était très bien rythmé mais la fin est allée trop vite : fin ouverte qui amène à discussion.

Décor et lumière immersifs
Nous avons aimé les changements de décors qui rendaient les scènes immersives.
L’histoire était compliquée à suivre, ce qui rendait un ressenti nuancé. Pour nous, lors d’une pièce de théâtre, les comédiens devraient changer de tenue afin de mieux vivre la pièce.
Les jeux de lumière durant le spectacle étaient surprenants et sublimaient le texte. Le son durant ce spectacle était très immersif. Les changements de décors rendaient aussi les scènes plus immersives. Mais la salle de spectacle ne permettait pas l’appréciation du spectacle.
Critique rédigée par le groupe H : Fares, Kader, Yanis, Ahmed, Melissa, Cameron, Louxane, Samâa, Inès, Mina, Fany, Clara.
Un remix d’une pièce emblématique, une proposition contemporaine de Roméo et Juliette
Les séparables est joué au Totem à 11h30, il dure une heure. Ce spectacle est joué par les comédien.nes Simon Chaillou et Aïda Hamri et mis en scène par Nathalie Dufour du 8 au 23 juillet 2025. La compagnie Chantier axe son travail sur les nouvelles écritures, met en scène des textes récents d’auteurs contemporains et développe un rapport singulier avec le public.
Communication et interprétation
Nous avons aimé qu’il y ait la version des deux personnages car cela nous plonge dans l’histoire et que le texte soit généralement adressé au public. Le fait que les comédiens aient rajouté un passage comique sur le Makrout a rajouté une pointe d’humour dans cette pièce dramatique. Certains d’entre nous ont aimé que les comédiens passent d’un rôle à un autre mais d’autres auraient préféré qu’il y ait plus de comédiens.

Raconter les violences actuelles
Nous avons aimé l’audace du spectacle de parler du racisme, de violence, de religion et de différentes origines car ce sont des sujets sensibles et actuels qui sont tabous. Nous avons aimé que lors de la séparation des parents de Romain, ils prennent soudain conscience de leurs pensées racistes. Nous avons aimé le fait que onze années de vie soient racontées en si peu de temps, chacune du point de vue des différents personnages. Toutefois, certains spectateurs ont remarqué de légères incohérences durant le spectacle. Certains spectateurs trouvent choquants que les parents aient des propos racistes envers les familles étrangères.
Les divers sons et lumières dans Les Séparables
La musique était pour certaines personnes trop forte, ce qui empêchait la bonne écoute du texte récité par les comédiens. Cependant la musique de Shakira est lancée de manière soudaine, ce qui a surpris agréablement le public, certains d’entre nous ont bien aimé la musique et la danse de la comédienne. Les lumières étaient très différentes mais certaines personnes auraient apprécié un éclairage plus simple. Les avis sont partagés sur le fait que les comédiens ont créé un effet de forêt avec des lumière qu’il gardait en main. Certains ont apprécié l’originalité de ce type d’éclairage.

L’imaginaire en jeu
Il n’y a pas de décor, nous devons faire appel à notre imagination. Le jeu des comédiens et le texte nous permettent de tout imaginer : le cheval de bois, les immeubles, le cerf mort…
Certains d’entre nous ont aimé la manière dont sont représentés les bois : un pot lumineux avec des branches plantées dedans. C’est une manière originale de représenter la forêt et les jeux d’ombres nous ont fait ressentir l’ambiance de la forêt. D’autres ont été surpris par cet accessoire. Une partie du groupe aurait préféré avoir plus d’accessoires, comme le bonnet jaune dont il parle souvent.
Critique rédigée par les enfants du Groupe B : Charlotte, Roxane, Mohamed Ali, Charline, Adélie, Robyn, Louise, Noélian, Luna, Nina, Basile, Cassandre, Zoé, Emy, Rohat
La danse va plus loin que ce qu’on croit
Des Danses et de luttes est mis en scène par Bouziane Bouteldja et Jérémie Le Louët, la chorégaphie est réalisée par Bouziane Bouteldja et Mathilde Rispal. Le spectacle se joue du 8 au 19 juillet 2025 à La Scierie pendant le Festival Off d’Avignon.

Des danseurs spectaculaires
Dans ce spectacle, les danseurs font un merveilleux travail de groupe. Il se synchronise merveilleusement bien et font participer le public. Ils dansent tous ensemble, en groupe sur différents pays, ce qui est bien c’est qu’on découvre les danses de différents pays sous forme de batailles.

Un peu de tenue
Même si les danseurs dansent extrêmement bien, ils auraient pu faire un effort sur leur tenue. Car oui, il y avait plus de couleurs et de styles différents que de grains de sable sur une plage.
Le comédien qui avait le micro, parfois était incompréhensible. Nous n’entendions pas bien ce qu’il disait. À la fin, le micro n’avait plus de batterie, il a donc fini le spectacle sans micro mais n’était-ce pas mieux comme ça ?
Critique rédigée par les enfants du Groupe Q : Mariam, Noorhae, Nawelle, Nélia
C’est qui moi ? et toi t’en penses quoi ?
Du 5 au 26 juillet 2025, à 17h45, le Théâtre des Doms accueille le spectacle T’es qui toi ? de la compagnie belge Une Compagnie, mis en scène par Thierry Lefevre qui s’interroge et nous interroge sur qui on est…

Un spectacle pour les enfants
Les entendre chanter nous faisait ressentir de la joie, on a aimé les entendre chanter parce que c’était assez fait.
C’était bien quand on nous a demandé nos prénoms parce que c’était drôle la façon dont Leïla nous le demandait. On a aimé la question « T’es qui toi ? » parce que quand on nous la pose, ça fait du bien qu’on s’intéresse à nous.
Leïla avait l’air triste quand elle jouait de l’accordéon, ce qui rendait aussi le public triste. Le jeu du chat et de la souris nous a bien fait rire. Il nous a aussi fait peur quand ils se sont poussés parce que c’était violent.
L’extérieur et le vivant
La scène à l’extérieur représente une scène naturelle qui était fraiche, ce qui rendait agréable le spectacle, surtout qu’il faisait chaud.

Camille !
La musique dans les enceintes était trop bruyante, ce qui faisait mal à la tête. La lumière aurait pu rester sur Alexandre quand il disait qu’il s’appelait Camille parce que ça nous aurait plus captivé.
Critique rédigée par les jeunes du Groupe C : Alexo, Eden, Alysson, Daniel, Samuel, Gabriel, Émilia, Johanna, Victor, Enzo, Malik et Émira
L’anxiété à travers la scolarité
Du 5 au 24 juillet 2025, le Théâtre du Train Bleu accueille à 9h45 le spectacle Le journal de Maïa de la compagnie La Traversée écrit et mis en scène par Cédric Orain qui raconte l’histoire d’une adolescente qui va entrer en 4e et dont le personnage principal est Maïa.

L’histoire
C’est une bonne histoire car on parle de tous les sujets. C’est une histoire qui parle aux ados qui se sentent concernés par ce spectacle.
Cette histoire était un peu longue, on aurait aimé voir les personnages impliqués dans le texte mais qu’on ne voit pas.
Les jeunes qui ont regardé ce spectacle ont tous apprécié comment les comédiennes montrent leurs émotions comme ils s’identifient à leur parole. Mais il y en a qui n’ont pas aimé la façon dont Maïa parle car elle bouge trop.
Plus haut ! Plus fort !
Le son fait vibrer la scène quand on entend que les paroles s’enchainent, mais la musique n’est pas assez présente.
Tenues simples et adaptées à des collégiennes
Les tenues sont simples et adaptées à des rôles de collégiennes, mais le pull de Maïa est trop flashy et dans la tenue d’Alissia, il manquait de couleurs.

Un décor pas comme les autres
Durant ce spectacle, le décor est vide, manquait de vie. Mais pour y remédier le créateur de la pièce veut jouer non sur un décor physique, mais sur un décor imaginaire. Par exemple, pour montrer qu’elle est dans sa chambre, elle nous le dit au lieu de le montrer. Donc cela nous permet de rester dans l’histoire.
Lumière intrigante
La lumière est bien adaptée pour nous, car elle n’est ni trop forte ni pas assez. Le jeu de lumière est bien car elle baisse selon le personnage et son jeu, par contre il n’y a pas assez de lumière sur les personnages. On ne les voit pas assez bien et selon les humeurs, il n’y a pas assez de couleurs, ce qui fait que le spectacle n’est pas assez accrochant.
Critique rédigée par les jeunes du Groupe J : Lina, Sara, Noëlié, Naëlle, Malissa, Mina, Sofia, Jenna, Assia, Meryem, Séléna et Lyana
Les secrets dans notre théâtre
Du 8 au 23 juillet 2025, nous pouvons nous réunir Autour de Marzia au Totem, Art, enfance, Jeunesse à 14h10 pour assister à ce spectacle de la compagnie Clandestine. Écrit par Marie Salemi et co-mis en scène avec Fabrizio Cenci, ce spectacle présente Marzia et son entourage à travers un secret…
Les acteurs autour de Marzia
Le spectacle est amusant, l’actrice exagère ses mouvements. Il y a beaucoup d’humour et les blagues sont bien exécutées. Certaines personnes pensent que changer de rôle tout le temps c’est cool et d’autres pensent le contraire. L’histoire était bien interprétée. L’actrice joue bien, elle incarne bien son personnage. La mise en scène aurait été mieux s’il y avait eu plusieurs acteurs. Les acteurs auraient plus parlé de leur vie en dehors du théâtre.
C’est un spectacle adapté au jeune public.

Le secret de Marzia
L’histoire de Marzia est un spectacle qui raconte l’histoire d’un secret de famille basé autour d’un prénom et d’une mort. Ce spectacle est adapté aux enfants de plus de 6 ans.
Nos journalistes ont enquêté et rapporté les avis de plusieurs spectateurs mitigés : des personnes touchées de voir une comédienne se livrer sur son histoire de famille au public. Marzia a en effet un fort humour qui arrive à imiter et marquer les différences entre les multiples personnages. Ce spectacle est riche en aventures, en rigolade et en inventions.
Seulement certains points négatifs ressortent tels que des scènes un peu trop « inactives ». L’histoire sortait de l’ordinaire et la chute était en fait jouer au début.
Points de vue autour de Marzia
Le spectacle était super réaliste. Il y avait des muras qui bougeaient mais on voyait les doigts du monsieur qui les bougeait, malheureusement, les costumes étaient simples et originaux. Dans certains moments dans la pièce, les couleurs changeaient en fonction de l’endroit. À la fin les costumes étaient de plus originaux. Ils étaient adaptés au spectacle.

Le son et la lumière autour de Marzia
Les spots éclairent bien la bonne personne, le public est dans le noir et l’actrice est bien éclairée.
les musique vont bien avec les scènes et avec les paroles. Ce n’était pas très bien que la trompette et la basse jouent par-dessus la musique parce que ça cache le son initial.
Critique rédigée par les enfants du Groupe E : Romane, Margaux, Simon, Cerise, Flora, Alexandre, Louise, Chiara, Diane, Lison, Lina, Naomie
Une plongée dans les secrets de Marzia
Un seul en scène réussi
L’actrice avait une bonne interprétation et beaucoup d’expressions, ce qui a permis de transmettre différentes émotions. On a également aimé comment elle parlait à son amie Karima. Malgré tous ces points positifs, on a trouvé qu’il y aurait dû avoir plus de danse et de musique.

L’histoire originale de Marzia
Nous avons aimé le fait que la mort soit représentée par un papillon et que Mathilda découvre l’importance d’un secret de famille. Nous avons aimé l’histoire car elle montre aux gens que chaque prénom a son histoire et que même si les gens sont morts, ils restent en nous.
Nous avons trouvé dommage que Marzia parle une langue différente avec sa grand-mère car on ne comprend pas assez la comédienne. Nous n’avons point apprécié le fait qu’au début de la pièce, on nous révèle que la sœur du père meurt, nous aurions aimé que ce soit plus détaillé.
Des panneaux pour basculer dans le monde de Marzia
Nous avons apprécié l’idée de panneaux mobiles qui permettaient de projeter différents décors, images, dessins, animations… et de passer d’un lieu à un autre.
L’idée d’une forêt projetée avec les ombres de la maquette permettant une immersion des spectateurs était particulièrement réussie.
Le fait que ce soient des dessins et non des photos pourraient nous éloigner du réalisme de la pièce mais il nous rapproche de l’univers enfantin de Marzia/Mathilda…

Au-delà des mots
Dans ce spectacle, la musique est en live, il y a un musicien qui apparaît parfois sur scène pour jouer de la guitare électrique et de la trompette accompagnant une bande-son enregistrée. Cela rend le spectacle plus vivant. Cela permet de faire des transitions et de souligner les émotions. Des fois, la musique se superposait au texte mais ça ne dérangeait pas l’écoute de celui-ci. Il y aussi une bonne interaction entre le musicien et la comédienne.
Il y a plusieurs effets de lumières et d’ombre comme quand on représente la grand-mère de Marzia dans la cuisine. Ça nous donne l’impression d’être au même endroit que le personnage et les flashs de lumière mettent la comédienne en valeur.
Les costumes permettent de reconnaître les différents personnages facilement et de bien suivre l’histoire, malgré le fait qu’ils soient simples. En revanche, certains pensent que les costumes ne sont pas assez élaborés et trop peu nombreux. La comédienne porte une tenue de tous les jours, ce qui ancre le spectacle dans le réel.
Critique rédigée par les jeunes du Groupe L : Albin, Émilie, Yamine, Émilie, Charlie, Aya, Salimatou, Maelou, Tristan, Adrien, Arthur, Ilhan, Maïmouna, Djazia, Manon, Anouk, Melissa, Mohamed, Louise, Kenza, Héloïse
Le choc des mots
Du 5 au 26 juillet 2025, la Farouche Compagnie nous fait découvrir Une peau plus loin à l’Artéphile à 10h30. Écrit par Sabrina Chézeau et mis en scène par Carmela Acuyo et Luigi Rignanèse, ce spectacle nous fait réfléchir sur notre lien à la terre…
Le Phénix
La pièce de théâtre Une peau plus loin nous transporte dans notre enfance notamment avec la petite file Lola qui raconte à sa mère ses bêtises à l’école qui nous font passer du rire aux larmes. L’actrice interprète beaucoup d’histoires et de personnages.

Derrière les mots sur des maux
La comédienne nous plonge dans chaque personnage avec une gestuelle précise de chaque personnage à trouver dans ses rythmes.
Elle nous fait vivre des émotions à travers la pièce, on passe du rire aux larmes et on nous jette dans l’histoire. La comédienne donnait des conseils contre la violence.
Critique rédigée par les jeunes du Groupe X : Camara, Dado, Dibah, Kahina, Youssouf, Sadagat et Ludivine
Coin-coin
Du 8 au 23 juillet 2025, à 11h50, le Totem nous amène à la rencontre de Moi, Canard écrit par Ramona Badescu et mis en scène par Énora Boëlle et Robin Lescoët. La compagnie Mauvais Garçon revisite le conte du Vilain Petit Canard pour nous montrer ce que ça fait de se mettre face à nous-mêmes.

Le caneton
On a aimé quand elle faisait le canard, parce que ça faisait rire, parce qu’on ne fait pas ça tous les jours et qu’un canard c’est mignon.
L’histoire rappelait beaucoup l’histoire du petit canard et comme la connaît, ça pouvait nous donner une sensation de répétition.
Iel comédienne
Les gestes du comédien étaient drôles dans sa façon de les faire. La comédienne a bien joué son rôle parce qu’elle a fait tous les personnages. Quand elle changeait de voix, on comprenait quel personnage c’était.

Être seule ou à plusieurs
La comédienne était en rythme avec la musique ce qui fait qu’on ne s’ennuyait pas et que ça nous donne envie de danser.
Décors et lumières
La lumière donnait un effet parce qu’il y a eu des couleurs et ça met de l’ambiance. Les lumières étaient stylées rappelant la joie. Le son était trop fort pour une pièce aussi petite. On n’a pas l’habitude, ça fait mal aux oreilles.
Le décor était beaucoup trop simple et nous pensons que pour cette histoire, il faudrait un plus gros décor. Ça ne faisait pas réaliste. Plus de décor permettrait de comprendre mieux le spectacle. Il faisait chaud dans la salle, ce qui amène à un manque de concentration.
Critique rédigée par les jeunes du Groupe O : Aya, Rachida, Majdeline, Salim, Eylul, Eymen, Sabine, Ahmet…, Eymen, Alijawad,Rayan, Yamina, Miron, Layla, Azra, Yasmine, Juliette et Yasmine.